vendredi 10 juin 2011

You were a child, Crawling on your knees towards it... Making Mamma so proud, But your voice is too loud.

Pendant que la moitié de mes collocs traverse la frontière pour passer le week-end à Mendoza, en Argentine, j'ai décidé de rester à Santiago afin de me reposer un peu et d'avancer dans mon travail (mémoire, mon beau mémoire, dis-moi qui est la plus en retard?). Ce qui, au vu de la montagne de travail qui s'annonce, n'est peut-être pas une si mauvaise idée...

Mes cours se passent toujours aussi bien. Je réussis à avoir des notes plus qu'acceptables dans toutes les matières (heureusement les profs ne sont pas aussi regardants sur l'orthographe qu'avec les élèves chiliens), et n'éprouve pas de problème particulier pour comprendre les sujets imposés.

Dernièrement, j'ai du réaliser un blog pour mon cours de Photo, afin de mettre en ligne les clichés choisis parmis les 30 demandés par semaine. La classe s'articule autour d'un thème principal, "La ciudad" ("La ville"), et chaque étudiant choisit un sujet, un angle de vue par rapport à ce thème ; le mien est sur "Los niños en la ciudad" ("Les enfants dans la ville").

Voici l'adresse du blog, où vous pourrez retrouver le reste de mes photos :


A part ça...
Le fait de vivre dans une maison avec autant de personnes à son lot de désavantages, évidemment. Il a fallu que Fernando, le nouveau colloc mexicain, tombe malade pour que les autres suivent ; d'abord Manon, puis Marine, Laëtitia, et maintenant moi. Certains appellent ça "l'hécatombe des françaises"... Tout ce que je peux dire, c'est qu'il est 20h, et je ne me suis levée de mon lit que pour aller regarder Friends avec les Américaines et dire au-revoir à Yuri.
Ah oui, parce qu'on a aussi fait face à notre premier départ...
Yuri, mon colloc allemand et voisin de troisième étage, a quitté la maison aujourd'hui, à grands coups de "Adios" et de "Nos vemos en Europa o en Alemania !"
Ca fait bizarre de se dire que c'est terminé, et que je le croiserais plus le matin en me levant... Même si ça fait partie de l'expérience, c'est toujours dur de se dire qu'on rencontre des personnes, qu'on vit avec eux, qu'on apprend à les connaître, et qu'au final on est pas sur d'avoir l'occasion de les revoir un jour.Yuri

C'était seulement le premier. Laëtitia dans 10 jours, Nikki début juillet, puis ça sera mon tour, en même temps que Manon et Michou.
Peut-être que c'est mieux comme ça.

C'est plus facile de partir dans les premiers que de voir tout le monde s'en aller et d'être le dernierà rester... Non?

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