vendredi 22 juillet 2011

Buenos Aires : Day 3.

Mi Buenos Aires querido,
Cuando yo te vuelva a ver,
No habra mas pena ni olvido...


  

Le troisième jour, nous avons envie de viande. Nous décidons donc de profiter du fait que nous sommes en Argentine (qui est, paraît-il, le pays de la viande et de la Parilla) pour nous offrir le luxe... D'un buffet de viandes.

Sur la route du restaurant, nous nous retrouvons mélées à une exposition de vieilles voitures.



Et enfin, nous y voilà.
Siga La Vaca, restaurant de viandes réputé pour son buffet à volonté.
Nous n'avons pas pris de petit déjeuner, nous réservant pour ce repas de roi, et arrivées là-bas, nous sommes complètement affamées.


"A taaaaable !"


Première assiette de viande.

Le restaurant tient bien sa réputation. Pour 102 pesos Argentinos (environ 15€), nous avons droit au buffet de viandes, de crudités, et aux frites à volonté, ainsi qu'à une bouteille de vin ou une boisson (par personne).
La viande est délicieuse, et nous sommes rapidement rassasiées.



Marine décide de rentrer à l'hôtel pour se reposer un peu (et digérer), tandis que Manon et moi continuons à nous promener dans San Telmo, découvrant le Marché Central où se vendent toutes sortes d'objets plus ou moins insolites.



Puis nous allons près de l'obélisque à la Casa Rosada, où nous sommes censées retrouver Marine...
Qui n'arrive pas.
Nous la retrouverons plus tard à l'hôtel, où on se rendra compte que c'était une erreur de compréhension; elle croyait qu'on parlait de l'obélisque principale de la ville, située dans un endroit totalement différent !

 



La Plaza de Mayo, où durant des années, les mères des personnes disparues durant la dictature tournaient pendant des heures pour protester et demander à ce qu'on leur dise où étaient leurs enfants.

 


Le lendemain, c'est jour d'élection à Buenos Aires. Les murs sont couverts de panneaux électoraux, et à partir de 20h, on n'a plus le droit de boire d'alcool (Oui, les Sud-Américains sont connus pour leur amour de la fête et de la boisson, menant à des mesures restricives dans des cas comme celui-là...)


Le soir, étant donné que la plupart des lieux culturels et les bars sont fermés, nous allons au cinéma, voir Medianoche en Paris...
Histoire de se laisser emporter par la nostalgie de notre pays d'origine !

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